Aile de Jais doit son nom a son pelage noir martelé de tâches blanches plus ou moins grandes. Ses oreilles sont fines et de tailles moyenne. Elle a un grand espace entre ses deux oreilles. La gauche est de couleur noire , la droite est grise . Son visage possède aussi une tâche grise au niveau de son museau et de sa bouche et une du côté droit, le reste est blanc. Elle possède de très longues moustaches. Son cou est assez long et de couleur blanc lui aussi. Elle a des épaules fines mais musclées. Elle possède une tâche noire au niveau de la base de son cou a gauche. Son poitrail est de couleur noir lui aussi. Sa patte avant droite est entièrement noire alors que sa patte avant gauche n'a que le bout des coussinets de cette couleur avec une tâche grise sur le haut de sa patte. Son dos est entièrement gris. Son ventre est lui noir.  Des petits tâches noir sont présentes sur son dos. Son arrière train est de couleur encre. Sa cuisse est elle aussi grise avec une tâche noire qui la surmonte. Sa patte arrière gauche est entièrement grise tandis que que la droite est comme l'avant gauche. Sa queue est blanche mais tacheté de grosse tâche noire. Sa queue est très longue et fine comme son corps. Ses pattes sont musclées et longue lui permettant d'obtenir une très bonne vitesse. Ses oreilles lui offrent une ouïe très correcte, son odorat est lui aussi très bon mais sa vue laisse a désiré malgré son joli regard ambré. Elle y voit flou sur les bords mais nets sur le centre

Aile de Jais est une chatte aux allures douces de par sa tête presque angélique au premier abords ou à sa façon de parler et de penser. Ce n'est pas une jeune lieutenante peureuse, bien au contraire, elle est courageuse et téméraire. Deux des qualités les plus importantes pour devenir une bonne guerrière. En bref elle ne lâche rien, aucune de ses pensées. Malgré ça, elle reste quelqu'un de sage et de réfléchie. Elle pensera à chaque détails de ce qui l'attend et comment faire dans n'importe quelles éventuelles situations. Elle reste bien évidemment une personne calme dans ses paroles pour paraître la plus rassurante possible. La qualité que tous souligne chez elle c'est le fait qu'elle ne soit pas rancunière et que donc elle pardonnera facilement.

Elle possède tout de même un caractère bien trempé par moment, faite attention à ne pas trop abusé de la confiance quelle vous donne ou vous le regretterez. C'est une femelle très têtue. Une idée lui traverse la tête et hop, elle ne la lâchera pas. Elle payera les frais pour la réaliser. Mais faite attention à vous, si jamais vous remettez en cause ses décisions ou son travail vous aurez affaire à elle et à sa colère.

Elle aime prendre le dessus sur les situations et elle est prête à se battre pour ce quelle pense ou pour protéger son avis ou encore des chays de son entourage. De plus elle raffole des entraînements aquatiques ou dans des souterrains.

Malgré tous ça elle a horreur d'ecouter des techniques sans pouvoir essayer juste après et de devoir rester sur place, les pattes enfuies dans le sol jusqu'à que les explications soient finit et qu'elle puisse enfin pouvoir essayer.

La lune était haute ce soir là. Aucun nuage ne la cachait. Le doux vent de la saison des feuilles mortes vint se faufiler au travers de mon pelage blanc aux divers reflets noirs. Mes iris aux couleurs d'ambre ne faisait que refléter mes sentiments, mes craintes, mes peurs. Les collines qui s'étendaient au loin me fascinait. Leurs couleurs verte en saison des nouvelle feuille et blanche dans la mauvaise saison attisait ma curiosité. "Nuage de Jais ! Nuage de Jais !" Cette voix je la connaissait, mes oreilles dressée sur mon crâne et ma queue qui battait le sol, j'attendis que mon frère venir vers moi. Je pivota lentement vers lui, lui faisant face. Il agita une oreille puis reparti. Je le suivi a mon tour tout en glissant un dernier regard vers les montagnes. La queue frôlant le sol et les pattes légèrement fléchi, je m'élança a travers les bruyères et les taillis. Mon frère tentait de me suivre, je faisais parti des apprentis les plus rapides. Légèrement devancé par mon père et par mon mentor, nous avions finis par arrivé aux chêne dormeur, l'une de nos frontières les plus difficile a garder. Mon père agita la queue, séparant le groupe en deux car la frontière était très longue. Mon frère parti avec mon mentor et mon père avec moi. C'était la première fois que j'étais séparer de mon mentor, j'avais peur. Mon père posa sa queue sur mes épaule avant de se stopper net. Il jeta un regard derrière lui, prenant de brèves secondes de réflexion avant de détaler très rapidement. Je parti aussi rapidement que lui, arrivant presque a son épaule lorsqu'il dévia brutalement sur le côté droit, a travers la forêt. Il m'ordonna de grimper a l'arbre. Ayant peur, il me mordilla le bas du dos pour que l'adrénaline surgisse en moi. Ma respiration était saccadée, mes mouvements peu précis et mes yeux reflétait la peur grandissante. Je finis par me perchée sur une branche en hauteur, bientôt suivi de mon père. Il monta plus haut que moi et miaula. Il miaula si fort que je me dis en mon fort intérieur que toute la forêt l'avait entendu. Il me jeta un regard attristé avant d'entendre le miaulement de mon mentor, ils étaient en sécurités. Mon père attendit alors, toujours perché, que le prédateur se montre enfin. Un chien. Un chien noir a l'allure massive et menaçante. Ses crocs était empli de bave, ces yeux transpercés par la rage et sa fourrure hérissé par la présence de ses proies. Mon père me jeta un regard glaciale et m'ordonna de courir dès qu'il attaquerait. Je devais courri jusqu'au camp, prévenir des renforts et revenir le plus rapidement possible en pensant a aller chercher mon frère et mon mentor au passage. Je le regarda, inquiète mais j'obéis. Mon père, dans un feulement que je n'avais jamais entendu, bondis en l'air, sorti les griffes et plongea sur le chien. Ses crocs se plongèrent rapidement dans la nuque du prédateur et je sauta a mon tour dans des buissons touffus. Je détala alors, le plus rapidement que je pus en direction du camp. Les raccourci me servirent bien plus que je l'aurais pensé. J’atterris alors dans le camp, miaulant au désespoir. Des prunelles sortirent de l'ombre, une paire, deux paire, bientôt dix et bientôt vingt. Ils avaient compris. Je leurs indiquèrent la position et une patrouille de dix guerrier plus que formés détalèrent. Je ferma la marche mais je dévia de trajectoire, je miaula au bas de l'arbre où était mon mentor et mon frère. Ils me regardèrent, mon frère n'exprimait rien tout comme mon mentor. Je détala alors en direction du champ de bataille. Une dizaine de queue de renard avant que j'arrive dans la clairière, les feulement, les grognement et miaulements faisaient rage. Je n'en revenait pas. J’atterris alors dans la clairière, les griffe sortis et mes babines retroussées. Je bondis sauvagement sur l'arrière train du chien. La patrouille était mobilisée sur le chien mais je ne voyais rien de plus. Mes crocs plongés dans la chair de mon ennemi, le sang coulait et se renversait sur mes pattes. J'avais mes griffes plantées dans le dos de mon ennemi, je voulais me maintenir. Je sentis alors, quelques instants plus tard, des spasmes venant du chien. Tous les guerriers s'expulsèrent du chien, j'en fis de même. Le chien chuta au sol, la haine était toujours présente au fond de ses yeux. Je dévisagea la clairière, cherchant mon père du regard. Je le vis, allongé au bord d'un chêne. J'accouru vers lui mais ses yeux étaient vitreux, sa nuque ensanglantée et sa respiration inexistante. Mon frère arriva alors près de moi, posant sa queue sur mes épaules, et me redirigea vers le groupe de guerrier. Deux trois de ces derniers prirent le corps de mon père. Les yeux fermés et les crocs serrés je en voulais pas y croire mais pourtant c'était le cas, mon père était mort.

Voilà la seule partie de mon histoire que vous connaîtrez.