Je pourrais vous compter tellement de chose. Je n'ai jamais été une peureuse, bien au contraire j'appartenais plus aux tête brûlées du clan et non a tord ! Tenez, pour vous le prouver je vais vous raconter la première patrouille que j'ai diriger !
 C'était en plein hiver, la neige craquait sous mes pattes et le gibier se faisait rare. J'étais accompagner de deux autres membres du clan pour une patrouille de chasse. J'humais l'air depuis de nombreuses minutes, tout comme mes amis de clan. Mes poils se hérissèrent quand je sentis la présence de membre des nuages. Je fis signe a mes compagnons qui avaient eut la même réaction que moi de se tenir près au combat. Dans un hochement de tête commun je m'approcha de la frontière, la queue bien dressée et la tête relevée. Je marqua donc la terre avant de me voir interrompue par un de ces satanés matous.

- Salutation Plume de Chouette !

Dans un froncement de museau je m'avança s'avança devant la matou, m'assis et dans un regard haineux dis.

- Que veux tu Soleil Couchant ?

Mes deux compagnons, poils hérissés et crocs apparents choisir ce moment pour s'approcher de moi, qu'est ce que c'était drôle ! La tête que tira le matou me restera toujours en tête, d'ailleurs il ne m'a jamais reparler ! Enfin bref.

- Je.. Je ne voulais pas être agressif..

Je feula avant de dire.


- Tu l'es chaque seconde un peu plus en restant si près de notre frontière.

Le mâle feula a son tour répliquant qu'il s'agit de leurs frontière aussi. Réplique que je dissimula dans un bâillement provoquant.

- Autre chose ? Je n'ai pas que ça a faire.

Le mâle feula une nouvelle fois, levant les yeux au ciel je me leva et me dressa de toute ma taille, lui faisant face. Imbécile comme il était il décida de se jeter sur moi. Dans un déplacement agile je l'esquiva de peu et constata a ma grande joie qu'il se trouvait de mon côté de la frontière. Je freina mes compagnons de clan, constatant deux autres nuageux arriver et franchir la frontière. Dans un bref haussement d'épaule et d'un léger spasme de queue mes compagnons se jetèrent sur les nouveaux venus tandis que je m'occupais du troisième, d'ailleurs il s'était relevé. On allait enfin pouvoir rigoler ! Il se jeta une nouvelle fois et je me laissa plaquer. Je me hâta donc de plier mes pattes et de lui marteler le ventre, griffes sorties bien sur. Il se recroquevilla légèrement et j'en profita, basculant mon épaule droite a gauche, le faisant chuter. Je me mis au dessus de lui et m'allongea lourdement sur lui, l'écrasant tout en le maintenant au sol, Je saisis sa gorge entre mes crocs et la serra douloureusement, lui laissant juste une bride d'air pour respirer. Moi ? Sadique ? Non, pas le moins du monde !  Je mis l'une de mes pattes sur sa queue, lui arrachant un cri de douleur tandis que je replongeais mes crocs dans la gorge du matous. cherchant a se dégager je le laissa faire et il s'enfuit au delà de la frontière, ses deux compagnons avec.

- Personne n'est blessé ?

 J'accourus auprès de mes compagnons de clan et constata avec grand plaisir que la plaie la plus profonde qu'ils avaient étaient une égratignure sur la cuisse qui était juste minuscule. Mes compagnons de clan étaient aussi content et satisfait que moi. Restant quelques instant devant la frontière sans qu'aucun matous n'y reviennent, je finis par retourner au campement.